Les villes montagnes.

TUMVIE : Les Tumulus de vie.

 

Le projet de l'Unité Organique de Vie Sociale Autonome.

Architecture sociale pour une humanité heureuse.

Les territoires cellulaires.

 

 

 Le concept central est celui de semer la campagne au sein même de la ville.

 

Résumé rapide du projet:

_Ville organisé en réseau de territoires villages autonomes, avec une construction centrale entourée d'un jardin  publique.

_Les lieux de vies sont logés dans une montagne artificielle de terre où des cavités sont aménageable en habitation.

_Chaque territoire village est pensé suivant le principe d'autonomie énergétique, alimentaire, recyclage, manufacturière et politique et culturelle.

_l'autonomie n'est pas autarcie, cela implique un effort dans le sens de subvenir à ses nécessités locales sans forcément y parvenir, mais cette effort doit être présent, de plus une importance particulière est donné à la mobilité et aux échanges culturels à la place des échanges touristiques.

_Le transport est centralisé et conçu autour du concept de container au lieu du concept de véhicule.(La motorisation est publique, sous forme de trains, etc... les déplacements locaux interne à un territoire se font sur de petite distance en couplant un moteur-châssis à un container.

 Les territoires jardin sont reliés soit par le système de transport publique soit par des pistes cyclables ou des sentiers de randonnée..

 

 D'autres textes sont disponibles ici pour une réflexion écologique et la transition climatique.

 

 

Les villes montagnes.      TUMVIE : Les Tumulus de vie.

 

Les territoires cellulaires.

 

 

Ce projet trans-architectural implique de nombreux concepts autant politique, culturel, technologique que « philosophique-religieux », de fait il est impossible de penser l'architecture sans l'insérer dans un contexte eco-techno-socio-culturel et géographique.

L'architecture est l'expression de la vie et agit sur le devenir de la vie ( par exemple le corail, les forêts, les grottes et tant d'autres phénomènes naturels, on pourrait même considérer la vie comme une pensée dans une architecture et vice et versa, pris dans un sens absolu, c'est à dire l'architecture comme habitat ou milieu de vie)

Les multi dimensionnalités sémantique et matérielle de la vie et les nécessités divergentes que cela implique, tel que nutrition, logement, sanitaire, mouvement, sécurité, rencontre, intimité, communication-réflexion, création, signifié de la vie etc. sont imbriquées les une dans les autres et interagissent l'une sur l'autre.

En ce sens religieux ( signifié de la vie) et politique ( organisation de la vie ) sont étroitement liés et ne peuvent être pensé séparément comme nous le fait croire le concept de la laïcité qui ne devrait pas être pensé en tant que séparation mais en tant que respect et écoute mutuel.

 

(Il faut comprendre le sens de ce que je nomme philosophique-religieux (faute de mots adéquats), par l'ensemble des croyances et des paradigmes qui donne un sens à la vie et une place dans une société composé d'entité partiellement autonome puisqu'il n'y a pas de vie sans partage et symbiose.

Ainsi l'athéisme, le matérialisme, les théories scientifiques de l'univers, le concept d'individu roi et le mythe de la liberté et du plaisir, la sélection naturelle et ses interprétations subjectives qui définissent le meilleur comme la conséquence de l'imposition de la loi du plus fort ou les systèmes économiques basés sur une propagande publicitaire donnant un sens concret à la vie en le fixant sur la possession d'objet tout autant utile ou inutile que symbolique, sont aussi en ce sens des types de religions puisqu'ils définissent et imposent souvent par la force et la guerre économique ou militaire des modèles de vies en société qui définissent:

Qui sont les individus;

Quel est leur rôle et leur place dans la société;

Qu'est ce que le bien et le mal (symbole de l'être ensemble);

Qu'est ce qui rend heureux et comment s'insère cette société dans l’univers naturel et surnaturel qui l'entoure.

 Une religion est ce qui défini des Dieux ce qui veut dire des paradigmes qui encadrent une perception-pensée du monde, en conséquence la dimension religieuse de la vie est inhérente au phénomène d'esprit, de pensée et finalement de société, l'Athéisme ou la croyance en l'absence de sens ou de cadre est un cadre et un dieux comme les autres, quoiqu'elle fasse , la pensée ne peut que se heurter à ce paradoxe qui fait que même ce qu'elle nie est quand même l'affirmation de quelque chose, au vu de la définition de la négation, pourrait il en être autrement, la négation ne peut pas se nier sans qu'il n'y ait plus de négation? (comme le font remarquer certains logicien pour qui non de non ne veux pas forcément dire oui))

 

Le concept de territoire cellulaire base des territoires organiques et des corps continentaux et de la société mondiale:

 

  Le projet s'articule autour des unités de vies ou territoires cellulaires de vie, qui organisent la vie communautaire, sociale, culturelle et productrice des habitants d'un territoire et les mets en communication avec les autres territoires cellulaires.

Organisation du territoire et de l'architecture de vie.

Chaque territoire se décompose en 3 parties :

_Le transport et la communication qui connecte chaque territoire aux autres, localement et individuellement puis globalement et communautairement par des moyens de transport public sur lesquels viennent se greffer l'organisation du transport local individuel en se basant sur le concept de container.

_Le jardin qui donne aux habitant l’accès à un espace naturel au sein duquel ils peuvent se retrouver et exprimer leur créativité.

Le jardin est par définition non habitable, il est à tous même si des dérogations peuvent être émises pour des usages particulier ou des privilèges donnés et acceptés par l'ensemble de la communauté.

_L'édifice montagne qui permet de faire vivre ensemble et de produire tout ce qui est fondamentalement nécessaire à cette vie.

L'habitat n'est pas pensé comme une juxtaposition d'espace individuel mais en tant que ville édifice, la ville étant un seul édifice au sein duquel des espaces creux sont mis à la disposition des habitants pour les habiter suivant des modes distincts ( privé ou plus ou moins communautaire )suivant leurs désirs.

Ainsi un grand ville peut se décomposer en territoire cellulaire chacun avec son édifice habitat et son espace vital et naturel alentour.

 

 

En résumé:

 _Autonomie locale de production sans autarcie. Séparation de l'économie en un pôle de vie et un pôle créatif. 

 

_Mobilité publique semi privé (la motorisation est publique, l'habitacle mobile est privé).

 

_Gestion commune d'un espace naturel (le jardin)  associé aux logements et aux lieux communs.

 

_Espace publique de rencontre afin de rendre possible une vie communautaire, proximité du centre décisionnel et population de dimension raisonnable organisée autour d'un cadre structuré, l'anarchie impliquant aussi l'injustice de la loi du plus fort alors que la hiérarchie implique l'injustice de la loi du plus privilégié (Il s'agit de trouver un sentier difficile entre ces 2 écueils, en être conscient est déjà une partie d'une solution qui ne peut être qu'en mouvement perpétuel comme la vie).

 

LE PROJET

 

Le projet plus spécifique de l'habitat tel qu'il est défini se porte sur un type de construction montagne en terre et en pierre compacté dans lequel on aménage des espaces habitables vide mais connecté à tout le système de vie de la cité. (lumière naturelle, air, eau, énergie, déchets, communication, distribution, alimentation et confection et ses cabines de voyages personnalisés).

On peut imaginer un édifice de quelques centaines de mètres et s'étendant sur un ou deux kilomètres afin de loger entre 5000 et 10000 habitants, entouré d'un jardin avec des zones personnalisés pour la production vivrière, des zones forestière de repos ou plus sauvage et des zones créatives pour des activités artistiques, culturelles et religieuses.

 

 

 

 

 

Concepts fondamentaux.

  Quoique l'on dise, la volonté politique actuelle de séparer les domaines de réflexions et d'actions n'a pour but que de protéger un système de domination et de privilège de tout changement qui le menace et cela au risque de précipiter l'ensemble du système de vie terrestre vers une catastrophe planétaire.

  Ainsi il est impossible de faire de la politique sans définir des croyances et des principes qui déterminent pour le plus grand nombre ce qu'est la signification du vivre ensemble, quel est notre place dans l'univers ou ce qu'est le bonheur et le bien, pourquoi il y a a du malheur et le mal, que faire et pourquoi il y a une opposition et une répression et sa dérive vers le mal etc... Autant de sujet qui touche de très prés à la religion et à la philosophie !

  De même comment faire de l'écologie sérieuse sans faire aussi de la politique et sans remettre en question un système économique délirant et dépassé!

  On peut toujours croire que la technologie nous sauvera mais encore faut il remarquer que cette technologie ne pourra vraiment agir que si la politique lui en donne la possibilité, ce qui est loin d'être le cas.

  La preuve en est que la technologie est là et qu'il est désormais possible d'effectuer la transition écologique et spirituelle qui l'accompagne mais que cette transition ne se fait pas parce qu'elle bloque sur les intérêts et les privilèges politique et économique de quelques hommes très puissant ( spirituelle dans le sens ou l'écologie est une pensée de la vie et de son phénomène d'intrication où tout agit sur tout et qui ne peut donc être pensé d'une manière seulement analytique, la spiritualité est elle aussi un phénomène qui tente de nous rappeler en permanence que nous n'existons jamais vraiment séparément et qu'une conscience universelle est donc nécessaire, Jésus disait «  ce que vous faite au plus petit d'entre nous, c'est à moi que vous le faite ( et donc aussi à vous même ) «  ce type de conscience est présent dans tout les systèmes religieux et philosophique du chamanisme au confucianisme, des déistes au dieu unique)

 

1_L'autonomie et l'économie :

Chaque territoires est supposé permettre d'accéder à un certain niveau d'autonomie sur le plan énergétique, écologique (recyclage), productif et distributif des objets de nécessité de base, éducationnel et culturel.

L'Autonomie est à la base de toute relation harmonieuse et libre, il ne faut pas la confondre avec l'autarcie qui implique une fermeture sur soi même, pour ces raisons une autonomie bien comprise, se doit de mettre le transport et la communication au centre de l'habitat mais elle se doit aussi de veiller à réduire le coût et l'impact social d'une spécialisation à outrance et donc d'organiser sur le territoire de vie le maximum d'activité possible qui soutiennent cette vie.

Donnant par cela même aux habitants une activité enrichissante, une dignité, une expérience concrète du partage (faire quelque chose de positif ensemble) et un sentiment vécu d'une vrai liberté « en commun », garant d'une violence social réduite à son minimum ( parce qu'il ne faut pas se leurrer, toute violence sociale est la conséquence de la rupture du lien social, la perte de l'autonomie ( par des acteurs économiques rapaces ), une vie non plus comme une construction commune mais comme une lutte de tous contre tous et finalement le ravalement de chacun à une indignité insupportable ou au simple esclavage déguisé.)

Ce concept d'autonomie sépare donc l'économie en 2 activités complémentaires et contradictoires qui ne doivent jamais se confondre et l’architecture du territoire doit refléter dans ses structures cette polarité.

 

1.1_L'activité économique des nécessités de base, sans but lucratif, fruit d'un effort commun qui cherche le consensus et n'est pas compétitif, et dont l'efficacité ne se mesure pas en terme de produit ou de résultat concret matériel puisque tout conflit a des coûts collatéraux autant psychologique que matériel qu'il est difficile d'évaluer avec précision étant donné les conséquences sur le très long terme qu'ils sont capable de provoquer.

Elle génère le progrès social et spirituel des habitants

 

1.2_L'activité économique créatrice qui permet de générer des bénéfices et est soumis aux lois de la compétition. Elle est génératrice du moteur social et aussi du progrès technique mais un frein doit lui être appliquer en permanence pour éviter tout à la fois l'indignité de la misère extrême qui fait honte à toute l'humanité et l'indignité de la richesse extrême et les comportements de domination et de gaspillage qui en sont la conséquence et qui font aussi honte à l'humanité.

Il est nécessaire de définir des limites à la richesse personnelle qui lorsqu'elle atteint des niveaux d'investissement publique ne peut plus être considéré comme une richesse seulement privé puisque son action implique des transformations qui oriente et influence et modifie la politique commune publique, en un mot toute richesse privé exagérée contourne le système politique, le corrompt et menace les libertés d'organisation et de consensus public.

Que les 2 pôles économiques soient séparés ne veut pas dire qu'ils n'échangent pas mais cet échange se fait toujours dans le respect des critères antinomiques qui les fondent, ainsi l'économie créative peut proposer des modes de production mais ceux ci doivent se soumettre au structures de l'économie de base, en d'autre terme elle ne peut pas les penser en terme de simple compétition de capital.

Le concept architectural des territoires cellulaire met la problématique de l'autonomie au centre des relations humaines.

 

2_Le devenir, la polarité publique-privé.

L'homme et sa personnalité étant forgé par la société à laquelle il appartient, le concept de droit d'évolution personnelle et sociale par le choix de la société dans laquelle on vit devient nécessaire parce que si on ne choisi pas ce que l'on est et où on naît on peut par contre choisir comment on devient et vers où on va.

Les organisations de vies actuelles héritées de l'histoire ne réponde que très partiellement à cette problématique à la fois sociale et spirituelle, elle se contente en général de définir des limites flous entre le privé et le publique mais jusqu'à maintenant il est impossible de choisir sa société expérimentale.

Pour répondre à cette nécessité de devenir autre, chaque territoire autonome connecté peut implémenter en fonction du désir de ses habitants et dans le respect de certaines méta contraintes géographique, ethnique, continentale ou mondiale (il y en a toujours) des modes de vies en commun plus ou moins privé ou publique.

Ainsi certaine peuvent expérimenter l'absence de propriété privé et une vie plus communautaire au niveau local sans pour cela devoir changer l'organisation de tout les autres territoires cellulaires.

La définition claire des méta contraintes est centrale dans ce projet de société créative locale.

Le but premier de ces contraintes sera toujours d’empêcher qu'un système ne se referme sur lui même et donc de promouvoir un degré acceptable de différence et contestation .

Par exemple, quelque soit les systèmes mis en place, ils doivent laisser une place à des habitants refusant de vivre de cette façons ou à des voyageurs de passage avec d'autres modalités de vies (tourisme social plus que tourisme récréatif) à la condition que cela ne dégénère pas en lutte d’accès au territoire d'une faction contre une autre.

Cela implique une place laissé aux voyageurs, aux contestataires et aux gardiens du cadre de fonctionnement abstrait et général dans lequel un système particulier peut se développer.

Certains problèmes locaux ne peuvent pas être résolu localement, (par exemple la lutte pour un territoire devenu trop petit pour permettre l'autonomie de base) cela implique donc un système hiérarchique de contrôle mais et c'est là que tout les systèmes imaginables rencontrent une difficulté insoluble, comment empêcher que autant l'organisation locale que l'organisation globale ne se livre à une lutte féroce qui finisse par la domination de l'un sur l'autre ?

Cela implique un système de double contrainte réciproque et un tiers garant de ce que l'on a défini en tant que fondamental en fonction des buts spirituel, social et productif de vie que l'on s'est fixé.

Cette charte des fondements ne peut être que subjective, elle implique donc un consensus et la présence de tout les acteurs et les penseurs d'une solution possible.

Une structure tri partite interconnectée est donc toujours nécessaire, cela n'est pas nouveau ce qui n’empêche pas de tenter de la définir une fois de plus !.

1 : Le pouvoir des faits.

l'organisation locale et son pouvoir d'influencer le global par un accord mutuel entre localité et citoyens.

Cela implique des moyens et des lieux sur chaque territoire pour s'organiser, se rencontrer, s'inviter etc. sans devoir passer par l'organisation globale mais paradoxalement cette méta organisation locale est un double de l'organisation globale, elle doit donc s'exprimer au sein même de l'organisation globale.

2 : Le pouvoir des principes et des décisions qu'ils permettent

L'organisation globale et son pouvoir de contrôle de la création évolutive et de contrainte pour imposer de rester à l'intérieur de certaine règle du jeu.

Paradoxalement une de ces contraintes inaliénables est celle de respecter le droit à l'auto organisation locale capable de contester dans le cadre global les statuts et orientation de cette globalité.

Cela implique un certain degré de spécialisation des territoires, certains devront avoir un statut spécial et seront dédié à l’organisation hiérarchique globale à laquelle il est impossible de se soustraire.

3_Le pouvoir de jugement et de conscience.

L'organisation abstraite des idées et des tendances :

En marge de l'opposition global-local un troisième pouvoir doit pouvoir mener des enquêtes et juger de l'adéquation entre les principes et les faits et de les juger apte à être mis en œuvre.

Il se doit de promouvoir le dialogue et la rencontre de point de vues différents, mettre en œuvre les moyens d'analyses et d'études par des acteurs différents et la transparence des informations ou leur degré de fiabilité afin de permettre une réflexion concrète et vraiment créative.

A la différence du concept de sénat en démocratie, ce pouvoir se veut plus connecté à la vie locale, ainsi il a pour rôle de défendre la multiplicité, d’émettre des jugements mais aussi de faire connaître les réclamations ou les points de vues qui ne trouvent pas d'expression dans les pouvoirs locaux ou globaux.

Il a aussi le pouvoir de définir les principes mais pas celui de déterminer comment on les appliques (rôle du pouvoir global)

La décision finale de modification des principes et du cadre doit être prise par un accord entre tout les pouvoirs sans faire taire le cinquième pouvoir informel.

5_Ce cinquième pouvoir est informel et imprévisible, il est symbolisé par le droit de s'auto organiser pour contester les 3 pouvoirs de principes établis, il est confondu avec le troisième pouvoir qui a pour devoir de s'assurer de son existence sans pour autant le diriger.

Le pouvoir tiers garant de la cohérence avec les principes est donc aussi présent sur les territoires, il analyse les conflits, fait connaître et diffuse l'information fonctionnelle, est à l'écoute des revendications informelles du quatrième pouvoir, n'ayant pas trouvé son expression dans les réseaux de communication officiel et de les aider à se former une apparence politique indépendante.

4_La justice.

Les 3 pouvoirs s'observent mutuellement et peuvent s'accuser de ne pas respecter leurs prérogatives.

Cette activité implique donc un quatrième pouvoir à part qui défini et juge non pas des lois et des principes mais de l'application personnelle qui en est faite par des habitants dotés d'un pouvoir particulier et peut donc décider de le destituer de son pouvoir.

 

 

Les pouvoirs applicatifs :

En plus des 4 pouvoirs abstraits il y a les pouvoirs concrets qui agissent au niveau , police, administration et direction, organisation d'habitant et syndicat, armée, courant religieux ou philosophique, pouvoirs privé (qui même s'il est contraint par les principes se doit d'avoir lui aussi un visage, ce qui se montre est toujours plus contrôlable que ce qui se cache)

 

 

L'architecture est l'apparence concrète de ce qui permet à tout ces concepts de fonctionner ensemble,

Même un système ayant nié l'expression d'une des composantes du pouvoir, n'est pas exempt de ce pouvoir, il existe seulement de façons informelle ou imaginaire prêt à apparaître si les conditions sont favorable, parce que la structure du pouvoir n'existe pas dans les faits concrets, il est la conséquence ontologique de la définition de tout ce qui prétend orienter un système vers un devenir et cela implique le conflit, la définition de ce devenir, son application, sa mise en œuvre par des entités indépendantes lié à ce pouvoir etc...

En conséquence l'habitat se doit de promouvoir des lieux de voyages, de rencontre, de réflexions et d'expression culturelle, d'échanges de délégués, de prise de décisions, de contestation etc. Il doit aussi prévoir sur chaque territoire une place et des moyens pour le fonctionnement des 4 pouvoirs en plus d'un espace pour un cinquième pouvoir informel spontané afin de s'assurer que cette organisation informelle naturelle trouve bien son expression dans les 3 pouvoirs établis.

Comme on commence à le comprendre, ce que l'on appel un habitat implique en plus du logement une quantité impressionnante d'autres structures architecturales pour recevoir et faire fonctionner tout le système et pas seulement d'un point de vue matériel pour le recyclage, la distribution ou la confection mais aussi du point de vue immatériel des principes à l'oeuvre en toute organisation.

 

 

 

_Les transports et déplacements :

Le transport est organisé autour d'axes ferroviaires pour les longues et moyennes distances et des aéroports et des ports pour les très longues distances.

Le transport public se connecte au transport local individuel par l'usage de cabines et containers de voyage avec un système de motorisation indépendante.

Ainsi On peut sans changer de cabine de voyage, changer de motorisation et de mode de transport pour s'adapter à toute les situations

 

.Seul les transports locaux à l'intérieur d'un territoire cellulaire ou vers ses proches voisins, se fait par des moyens de transport individuel commun.

Le voyage est quand même possible par les jardins mais il n'est permis qu'à pied ou par locomotion animale ou pittoresque tel que locomotive à vapeur etc.. 

Les transports sur de longue distance se font par trains et avions ou bateau.

Ces trains peuvent recevoir des boites individuelles contenant soit des voyageurs (ayant décidé de voyager ensemble) et leurs affaires ou leur environnement de voyage soit des marchandises. Il est aussi possible de voyager individuellement dans des espaces commun.

Ces boites peuvent être personnalisées et contenir par exemple les affaires personnelles d'une famille ou d'un clan, elles peuvent aussi s'associer pour former des ensembles d'espaces connectés.

Les moteurs sont externe aux boites et interchangeable.

Chaque espace de vie personnel ou familial ou communautaire peut avoir ses boites de voyage personnelles associées, elles peuvent ainsi se déplacer à l'intérieur d'une grande cellule unité de vie communautaire tout autant que vers des destinations lointaines mais empruntant toujours les moyens de transports communautaires mis à disposition, seul reste lié à une personne l'habitacle de voyage.

 On peut imaginer plusieurs type de cabine habitable, pliable sur un espace de bagage mais sans éléments de type wc ou cuisine, des mobil- homes sans motorisation prévu pour s'adapter aux motorisations locales et aux moyens de transports publiques.

 Différents types de wagons peuvent aussi être imaginer, ceux qui empiles des cabines mobil-homes indépendant d'où on ne peut pas sortir durant le voyage et d'autres qui les empilent autour d'un couloir menant à des parties communes,d'autres encore qui donne à une cabine une motorisation personnelle sur rail qui s'adapte au trafic et se connecte sur de longue distance entre eux.

 Lorsqu'une cabine arrive à destination elles se sépare de ses voisins avant et arrières et actionnant automatiquement un aiguillage se met sur une voie de sortie, les autres cabines se reconnectent alors ensemble.

 

 

_L'unité de vie.

Une grande cellule unité de vie, doit subvenir de façons autonome aux nécessités de base de ses habitants (il n'y a pas de délocalisation permise pour tout ce qui est considéré comme nécessité de base)

Soit loger, nourrir, soigner, éduquer, s'amuser, échanger, apprendre, produire les aliments de base pour survivre, produire les énergies, recycler les déchets, organiser les communications, la distribution et la production locale et d'exportation.

Elle doit garder une taille humaine entre 1000 et 50000 foyers

 

 

 

 

Mise en pratique de la transition autant abstraite et conceptuelle que concrète:

 

 Il faudrait prévoir une transformation en douceur en faisant des choix, il y aura forcément des disparités évolutives de la transition donc des zones privilégiés et d'autre qui le sont moins.

 

_Définir une constitution basé sur le concept de principe source et d’application adapté à ces buts particuliers.

_ Tout d'abord privilégier l'autonomie locale et laisser aux habitants le choix de la transition, structurer l'économie créative de compétion.

_Commencer par réorganiser les territoires des villes sous forme de cellules autonomes avec leur jardin personnalisé relié entre eux par un système de transport publique, adaptable à un système de cabine et container.

 Le passage d'un territoire à l'autre peut se faire part les jardin à pied ou à vélo ou sinon par le transport public qui connecte chaque centre l'un avec l'autre.

_Organiser l'autonomie et la proximité de transmission des savoirs de bases, de santé, de vie publique, de distribution, la production locale etc... l'autonomie énergétique.

 

_Redéfinir le concept individuel:

 En plus des droits fondamentaux: Toute personne à droit à

-une identité publique mondialisé reconnaissable partout, un espace d'opinion (site).

-un compte en banque personnel mondialisé (ce qui implique de repenser totalement le système bancaire, il peut exister des banques privés mais à la condition de ne pas empiéter sur l'espace vital de la banque publique et de lui transmettre toute les informations nécessaire, quoique l'on fasse on a toujours un compte en banque publique même s'il n'y a rien dessus, les liens avec les banques privé y sont visible),

-un suivi sanitaire adapté.

-un lieu d'origine de vie dans un territoire cellulaire (il peut vivre ailleurs mais ne perd jamais sa racine d'origine)

-La richesse d'un individu n'est pas contrainte si ce n'est dans les limites où sa fortune personnelle est en mesure de rivaliser avec la richesse locale publique, dans ce cas sa richesse privé devient dangereuse pour la communauté et passe sous contrôle publique (il y a plusieurs solutions).